Neurontin et lyrica doivent être retirés du marché !

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Introduction aux principes de la médecine moderne

Les médicaments induisent des troubles cognitifs:   Partie1 et Partie2
La démence et les délires induits par les médicaments sont généralement attribuées à tort à la maladie médicale sous-jacente ou simplement à la «vieillesse». Mais les patients (et même leurs médecins!) pourraient ne pas savoir que par l’arrêt ou la modification de la posologie de nombreux médicaments fréquemment prescrits, la plupart des patients peuvent être restaurés à un état pré-drogue de la fonction mentale.

Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !
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docteur Robert Mendelsohn
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prof david Healy
« Les experts estiment que seulement 1 à 10% des événements indésirables graves (ceux provoquant une hospitalisation, une invalidité ou un décès) sont rapportés. »
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car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieure au camps de la mort, même si cela vous semble impossible »
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professeur Philippe Even
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«La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments» Son taux de mortalité lié aux médicaments d’ordonnance est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un nombre stupéfiant de 20 à 50 fois plus élevé chez les plus de 75 ans.

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professeur Peter C. Gøtzsche
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professeur Peter C. Gøtzsche
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..« L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux : médecins, instituts de recherche, publications scientifiques prestigieuses de même que les agences gouvernementales comme la FDA. Très peu de gens tirent avantage des médicaments qu’ils consomment. En fait, les médicaments seraient la troisième cause de décès dans les pays riches…Pour sortir de cette situation intenable, il faudrait rien de moins qu’une révolution : abolition des brevets en pharmacie; interdiction de tout marketing et de toute recherche clinique à l’industrie ; disqualification systématique de tout expert ayant un conflit d’intérêts, qu’il soit financier ou simplement intellectuel. Notre système de santé serait donc menacé non pas par le vieillissement de la population, mais bien par l’explosion de la pharmaceutique. »
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« la médecine est devenue folle » (ARTE télé)
les autres émissions, reportages, vidéos, sur les médicaments, la médecine et surtout les escroqueries, a ne pas manquer :
Médicament l’overdose / débat /  LCP: « la santé des gens, ils n’en n’ont rien a faire »
BIG PHARMA : « Ces criminels ne reculent devant rien, nos vies n’ont aucune valeur »
Pharma – Le Cartel criminel de la «Santé» partie 1 et partie 2
La vérité sur tous les vaccins : « Aux USA, les médicaments et vaccins provoquent la mort d’environ un million de personne par an, depuis 50 ans »

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Principes des addictions psychiatriques

11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement. Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. » La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]]. Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits.Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d’utilisateurs de toxicomanes, à long terme
Mythe 1: Votre maladie est causée par un déséquilibre chimique dans le cerveau C’est ce qui est dit a la plupart des patiens, mais c’est complètement faux. Nous n’avons aucune idée de ce qui interaction des conditions psychosociales, les processus biochimiques, les récepteurs et des voies nerveuses qui conduisent à des troubles mentaux et les théories que les patients atteints de dépression n’ont pas la sérotonine et que les patients atteints de schizophrénie ont trop de dopamine ont longtemps été réfuté. La vérité est tout le contraire. Il n’y a pas déséquilibre chimique pour commencer, mais quand traiter la maladie mentale avec des médicaments, nous créons un déséquilibre chimique, une condition artificielle que le cerveau tente de contrer.
psychrights : « Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux . »
psychiatrie mortelle et déni organisé grand forma
Corruption et Racket pharmaceutique
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Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l’avez jamais imaginé !

« Dans l’histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d’ignorer les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentiellement à la maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la drogue… des millions de personnes ont été mises sous drogue, alors qu’elles n’en n’avaient pas besoin »
docteur joanna Moncrieff

SMT Gotzsche

Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

« Avec les médicaments psychotropes, les médecins créé la maladie faussement diagnostiquée »

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Lyrica (prégabaline) : antiépiléptique « le lyrica est une drogue dérivée du neurontin »

Lyrica : Refusez ce médicament !

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« « S’ils sont combinés à des opioïdes, les gabapentinoïdes augmentent le risque de surdose d’opioïdes. Les effets secondaires graves de l’utilisation simultanée de gabapentinoïdes et d’opioïdes incluent une dépression respiratoire (ralentissement de la respiration), une sédation (somnolence) accrue, des étourdissements, des évanouissements et la mort. » »
Au cours des cinq dernières années, en Grande-Bretagne, près de 3 400 décès liés à la prégabaline ont été enregistrés, dont 779 rien qu’en 2022, contre 9 décès dix ans plus tôt, selon une enquête du Sunday Times.
alerte FDA
L’ANSM alerte les professionnels de santé sur les risques de dépendance et d’abus de l’antiépileptique Lyrica et ses génériques à la suite de plusieurs signalements depuis 2010.
Pour limiter les conséquences de certains effets indésirables graves de la gabapentine ou de la prégabaline, il est prudent de n’exposer les patients que dans des situations où ces médicaments ont une efficacité démontrée et importante.
Au total, 13 morts ont été rapportées à ces médicaments : 8 patients exposés à la gabapentine et 5 exposés à la prégabaline. Dans 9 cas, une exposition in utero a été suivie de la mort du nouveau-né ou du foetus.
fraude scientifique majeure de Scott Reuben, financé surtout par Pfizer, concernant l’efficacité antalgique de Lyrica, Celebrex, Effexor…
Lyrica pour la fibromialgie : avis défavorable
Worstpills : le meilleur site mondial de conseil sur les médicaments
les médecins pensent que la fibromyalgie est liée à l’évolution du nerf. Ce n’est pas vrai.
Le lyrica est dans la liste des 77 médicaments sous surveillance renforcée de l’afssaps
Une étude britannique démontre l’inefficacité du Lyrica®, un traitement souvent prescrit en cas de douleurs chronique du dos.
mise en garde contre un risque suicidaire de Santé Canada
Comment le médicament Lyrica est devenu la nouvelle « drogue du pauvre »
SMT Healy ET STOP
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Neurontin / gabapentine

Étant donnés certains effets secondaires graves de la gabapentine (Neurontin) ou de la prégabaline (Lyrica), « il est prudent de n’exposer les patients que dans des situations où ces médicaments ont une efficacité démontrée et importante », souligne la revue Prescrire dans son numéro de juillet.
La gabapentine, produit chimique dérivé de l’acide γ-aminobutyrique, est un médicament commercialisé sous le nom de Neurontin
Cette valeur est de 1 gramme neurontin est équivalent à environ 5 mg. de rivotril
suicide, prescription hors AMM, escroquerie
Alliance for Human Research Protection
Pfizer a payé 83,6 millions $ au gouvernement fédéral et 68,4 millions $ pour les 50 États et le District de Columbia. En outre, Pfizer a accepté de payer aux États un total de 38 millions de dollars
emea
Le baclofène, à l’origine commercialisé sous le nom de Liorésal®, est un dérivé de lacide gamma-aminobutyrique (GABA)
L’augmentation des ordonnances était concentrée chez les personnes âgées, les diabétiques, les personnes souffrant de problèmes de santé chroniques multiples et celles prenant déjà des opioïdes ou des benzodiazépines comme le Valium (diazépam) et le Xanax (alprazolam),
« Après avoir souffert du SSPT à la fin des années 1980, j’ai accepté à contrecœur les antidépresseurs. Avec le temps, j’avais résolu le traumatisme, mais quand j’ai essayé d’arrêter les antidépresseurs (Prozac, et plus tard Zoloft), j’ai supposé que mes sentiments désespérés et le «retour» de la dépression étaient une indication que j’avais un déséquilibre et que j’avais besoin de ces médicaments. Je n’ai pas compris que je vivais un sevrage. (On ne m’a jamais dit que pour la plupart des gens, les médicaments psychiatriques doivent être réduits.)
Lorsque je suis passé de Zoloft à Effexor en 2002, cela a provoqué un reflux acide qui a continué pendant un mois après l’avoir pris à jeun. J’ai demandé à mon psychiatre quelque chose qui n’avait pas besoin d’être pris avec de la nourriture. Il a suggéré Lexapro.
Cette décision a conduit à une réaction indésirable et à de nombreuses erreurs et polytoxicomanies pour compenser les effets indésirables. Finalement, mon corps a été tellement abusé par les médicaments que j’ai développé une akathisie. Je traversais ma maison à toute vitesse, me dépêchant d’une pièce à l’autre sans pouvoir ralentir. C’est alors que mon nouveau psychiatre a prescrit Neurontin (gabapentine).
Le médicament a fonctionné en une heure pour me calmer. J’ai finalement pu me stabiliser, mais maintenant je prenais deux médicaments: le Neurontin et l’amitriptyline, un antidépresseur tricyclique. Comme le médicament ne m’avait pas été expliqué et que la seule chose que je savais à ce sujet était qu’il exigeait d’un antiépileptique, j’ai essayé de l’arrêter. (Je n’avais pas d’épilepsie et je ne sentais pas que j’en avais besoin.) Lorsque mes tentatives d’arrêter ont connu des symptômes difficiles, je suis revenu à la dose précédente de 800 mg, trois fois par jour, avec l’antidépresseur.
Mais je n’ai pas compris pourquoi j’avais maintenant un léger tremblement qui a continué après la débâcle des antidépresseurs. Le médecin a augmenté la dose de Neurontin à 4800 mg et a même ajouté Lyrica («grande soeur» de la gabapentine – également classée comme un gabapentinoïde avec un maquillage similaire) pour voir si le tremblement agité se dissiperait. Ça n’a pas été le cas.
Il a décidé que l’amitriptyline causait le tremblement, alors il m’a conseillé de passer de 100 mg à 0 en un mois. J’ai été surpris de sa recommandation car je ne pensais pas pouvoir me débarrasser des antidépresseurs, mais après avoir essayé les deux premières gouttes sans problème, même après quatre mois, j’ai décidé de suivre le reste de ses conseils et de descendre. les 50 derniers mg en deux semaines. Bien que j’aie mis un intervalle plus long entre les doses décroissantes qu’il ne devrait recommandé, j’ai quand même diminué beaucoup trop vite. Quand j’ai été à nouveau dévasté par le sevrage, le médecin a fait plus de choix qui ont provoqué des réactions plus graves, mais finalement amené à moi conseiller de refroidir la dinde les 4800 mg de Neurontin.
Bien que je l’ai interrogé car j’avais eu du mal à réduire auparavant, il m’a assuré que c’était la chose à faire. Je n’ai dormi que 30 minutes au cours des 60 prochaines heures. Finalement, j’ai dormi une ou deux heures par nuit et je faisais les cent pas le reste du temps. Je me suis également retrouvé à entender des «conversations», ce qui était l’interprétation de mon imagination chaque fois que la climatisation soufflait à travers les évents.
J’ai connu l’émergence de bouffées de chaleur. Je sentais l’angoisse monter et au moment où elle atteignait son apogée, j’éclaterais en sueur. Les bouffées de chaleur arrivaient comme des moyens d’accouchement, environ toutes les 10 minutes, toute la journée et toute la nuit.
Après sept semaines, lorsque le médecin a vu à quel point j’étais anxieuse et «occupée» – surtout lorsque je faisais les cent pas plutôt que de m’asseoir pour mon rendez-vous, il a rétabli le Neurontin à 800 mg 3x / jour. Les choses se sont généralement résolues après la réintégration, mais bien que moins fréquentes, les bouffées de chaleur ont continué. J’ai remarqué que je me sentais beaucoup mieux après seulement une heure ou deux, même si le deuxième jour j’ai eu une recrudescence d’agitation et de légères brûlures. Ce n’était pas mal et je l’ai bien mieux toléré que je ne l’avais toléré quelques jours plus tôt.
Après ce fiasco, j’ai trouvé un pharmacologue qui a écouté mes effets secondaires rapportés et m’a aidé à réduire ce qui était maintenant la forme générique de Neurontin (gabapentine) sur plusieurs années. Bien qu’il ait atteint son objectif de me calmer au moment opportun et que le seul effet négatif que j’ai remarqué avait été des selles plus molles et une légère difficulté à récupérer les mots – que je viens d’attribuer à ce moment- là au vieillissement – je savais que je n’en avais pas besoin. plus.
Gabapentine, encore
En 2015, j’étais totalement hors de la gabapentine et j’avais diminué à une faible dose (25 mg – une dose non thérapeutique) de Zoloft que j’avais également l’espoir de prendre à temps. La vie allait bien; J’aimais un nouvel emploi; et mon mari et moi venions d’emménager dans une maison nouvellement construite.
Après avoir oublié mes pilules pendant quelques jours en vacances et à nouveau lors d’une visite à un parent, mon corps a commencé à intervenir. Pour faire une histoire courte, j’ai fini par arrêter Zoloft et espéré que je pourrais supporter de descendre d’une dose aussi faible. Ce que je ne savais pas, c’est que les doses les plus faibles de médicaments psychiatriques sont les plus efficaces et doivent donc être réduites le plus lentement. J’aurais dû prendre des mois pour réduire de 25 mg de Zoloft.
Encore une fois, j’ai subi un retrait. Les sentiments désespérés dev difficile difficile et comme mon merveilleux médecin / pharmacologue était décédé d’un cancer, j’ai contacté son remplaçant pour lui demander des idées pour minimiser les symptômes. Il a choisi la gabapentine pour apporter un soulagement. J’étais réticent à le redémarrer car je savais à quel point il était difficile de descendre, alors j’ai demandé qu’il maintienne la dose plus faible que mon médecin précédent – seulement 200 mg 3x / jour, ou au plus 300 mg 3x / jour. Il a consenti et m’a mis sur la plus élevée de mes doses demandées tout en m’assurant que je pouvais augmenter la dose à tout moment si désiré.
Je n’avais pas réalisé que prendre de la gabapentine pour la troisième fois n’était pas un bon choix. Mon corps avait été «allumé» et j’avais de vrais problèmes, mais je n’en avais aucune idée.
La gabapentine ne semble pas apporter beaucoup de soulagement. Au contraire, j’ai commencé à avoir des difficultés à respirer. Mais je pense que ce symptôme pourrait être lié au retrait de Zoloft, alors je me suis forcé à y faire face en soupirant plusieurs fois par heure. J’espérais que les choses s’amélioraient bientôt. Après avoir travaillé pendant deux mois, j’ai décidé que j’avais besoin de plus d’aide, alors j’ai de nouveau contacté mon médecin, lui demandant d’ajouter du clonazépam (Klonopin).
À ce moment-là, le clonazépam était une substance contrôlée (bien que je ne le sache pas), alors comme il a accepté de fournir l’ordonnance, il m’a conseillé de trouver un médecin local pour me surveiller car il était à 2,5 heures. Entrer pour voir un nouveau psychiatre a pris du temps – mon rendez-vous était prévu huit semaines plus tard – alors j’ai demandé à mon médecin généraliste de recommencer à prendre un antidépresseur.
Mais à ce moment-là, et après la polytoxication des années précédentes, mon corps était devenu ultra-sensible à tous les antidépresseurs, en particulier au démarrage, même si j’ai choisi à nouveau l’amitriptyline, qui est lieu en très petites quantité que je pensais pouvoir accumuler progressivement. . J’ai fini par l’arrêter après seulement 18 jours en raison de graves brûlures dans mes bras. Cet arrêt a conduit à une autre réaction indésirable (même si je n’ai jamais pris plus de 10 mg dans ce court laps de temps). Cinq jours après l’arrêt de l’amitriptyline, mon corps est devenu «excité» comme il visualisé fait en 2004. J’allais sans arrêt et j’avais encore du mal à respirer.
Mon médecin m’a convaincu que la gabapentine était un médicament sûr et sachant que la solution à la stimulation en 2004 avait été de 800 mg 3x / jour, j’ai décidé d’augmenter ma dose. Cependant, je ne voulais toujours pas prendre une quantité exorbitante, alors j’ai diminué la dose de 2004 et j’ai choisi de prendre une dose de 600 mg. Je savais par expérience précédente que si j’allais avoir des effets secondaires, ils apparaissent comme le deuxième jour après, alors je suis préparé à ce que j’espérais ne serait rien de trop grave.
Puis « All Hell Broke Loose »
Mais ma naïveté est devenue évidente lorsque le lendemain «tout l’enfer s’est déchaîné». J’ai eu une «réaction inverse» (ce qui signifie que la gabapentine a en fait CAUSÉ les symptômes qu’elle est censée traiter). Ma peau a commencé à brûler si intensément, j’avais l’impression que quelqu’un avait versé de l’affichage sur tout mon corps! Mon cœur battait la chamade et je souffrais d’autres symptômes indésirables. J’avais une peur de mort parce que je savais que je devais maintenant arrêter de prendre ce médicament et que ce n’était pas facile d’arrêter.
Bien que ma réduction réussie de la gabapentine à partir d’une dose plus élevée se soit produite sur une période de plusieurs années, je prévoyais maintenant une réduction de 3 semaines pour descendre aussi vite que je le pouvais. J’ai utilisé le clonazépam pour aider à soulager la brûlure, ce qui la rendait plus tolérable.
Par coïncidence, mon premier rendez-vous avec le nouveau psychiatre avait été reporté et était prévu pour le lendemain. J’étais soulagé car je pensais qu’il pourrait avoir des réponses et être en mesure d’offrir de l’aide. Mais j’avais beaucoup à apprendre sur la mauvaise formation des médecins en matière de gabapentine.
Lorsque j’ai rencontré le Dr F le lendemain, il était convaincu que mes symptômes étaient le résultat de la prise de clonazépam et ne voulait pas croire mon récit de la gabapentine à l’origine de mes réactions indésirables. Il m’a dit que je pouvais rester sur la gabapentine aussi longtemps que je le voulais, mais j’ai mis en place une réduction du clonazépam.
J’ai suivi ses instructions pour arrêter le clonazépam même si je l’avais utilisé pendant moins de 3 semaines. Je me rends compte que quitter le benzo était probablement une bonne chose maintenant que je suis plus instruit sur ce, mais je n’ai eu aucun soulagement efficace de ma brûlure et de mon anxiété incessantes. Le Dr F m’a félicité pour la facilité avec laquelle j’ai arrêté le clonazépam. (J’ai arrêté le clonazépam en moins de deux semaines.)
Mais chaque fois que je diminue progressivement la gabapentine, de nouveaux symptômes apparaissaient et la brûlure se propageait. Maintenant, non seulement mes membres et ma poitrine brûlée, mais mon cou, mon visage, mes mains et mes pieds étaient affectés. Après une visite à l’urgence pour vérifier pourquoi mon cœur battait énormément et mes voies respiratoires se sentaient resserrées, j’ai été convaincu par le médecin urgentiste d’arrêter ma cône (que j’avais réduit à 100 mg 3x / jour).
Comme c’est le cas pour la plupart des autres personnes de réactions indésirables à la plupart des autres personnes et des réactions indésirables à la sevrage, les tests n’ont rien montré, et après avoir reçu un relaxant musculaire et du Benadryl, j’ai été renvoyé chez moi. Le Dr F et ses infirmières étaient convaincus qu’une fois arrêtés de la gabapentine (et déjà arrêtés du benzo), mes symptômes s’amélioreraient encore. Ils n’ont pas.
J’ai enduré de l’anxiété, de la transpiration, des palpitations cardiaques, des crises de panique, de l’akathisie (je faisais les cent pas constamment), des problèmes digestifs (et des douleurs abdominales sévères), de l’insomnie , des difficultés respiratoires (j’avais l’impression d’avoir un étau autour de ma poitrine bien serré tout en respirant à travers une paille étroite), l’excitation nerveuse (brûlure, démangeaisons, picotements, etc.). Ma bouche, mon œsophage, ma gorge et ma langue ont brûlé. J’ai eu une réaction de sursaut super sensible et une peur terrible. Mon odorat était si profond, l’odeur d’un parfum léger était odieuse! Mon audition était également sur-sensibilisée. Le son d’une tondeuse à gazon était plus que je ne voulais tolérer,mais même une musique douce qui aurait été apaisante n’était qu’une autre irritation très stressante.
La vie était insupportable . Je pouvais à peine supporter 60 secondes, encore moins une heure ou une journée. Toutes les 90 à 120 minutes la nuit, des décharges électriques m’ont réveillé avec une secousse accompagnée d’une bouffée de chaleur intense et d’une poussée de sensation de brûlure cutanée. Inutile de dire que j’étais terrifié.
Mon mari a payé pour que des femmes viennent chez moi pour rester avec moi. Ils ont ajusté mes blocs de glace pour donner un soupçon de soulagement à la brûlure incessante de la peau. J’ai perdu du poids. J’ai raté le mariage de mon fils. Je ne pouvais aller nulle part ou être impliqué dans quoi que ce soit sauf essayer de survivre.
Cela a duré des mois jusqu’à ce que je tente finalement de me suicider. C’est un miracle que j’ai survécu.
Les médecins m’ont dit que j’étais «délirant»
Quand je me suis réveillé et que j’ai réalisé que je serais toujours confronté à la souffrance, j’étais très désemparé. Mais la tentative de suicide a étonnamment aidé certaines choses. Je ne sais pas si c’est à cause de la transfusion sanguine qu’on m’a administrée qui aurait pu aider à rincer mon système, mais quelques symptômes ont finalement disparu. Je n’étais plus éveillé la nuit avec des décharges électriques et je n’avais pas la contrainte de marcher. Je pourrais aussi manger un peu sans autant de nausées et de stress pour mon système digestif. Et je n’avais plus de sensation de «picotements et d’aiguilles» dans mes pieds.
Après ma convalescence, j’ai été transféré dans un hôpital psychiatrique. Mais je devais maintenant être confronté à un nouveau traumatisme. On m’a continuellement dit que mes symptômes ne peuvent pas provenir de la gabapentine car elle aurait été longtemps hors de mon système à ce moment-là. (Cela faisait quatre mois depuis son arrêt.) J’ai été diagnostiqué comme sévèrement déprimé et menacé d’être obligé de prendre des antidépresseurs. Par peur d’être retenu et forcé de prendre le médicament, j’ai concédé de prendre Cymbalta, mais quand j’ai signalé la montée de la brûlure encore plus, on m’a dit que j’étais délirant.
J’ai décidé d’accepter une prescription de BuSpar, mais une étrange a commencé à se produire. Mes pieds ont commencé à s’engourdir. Chaque fois que je prenais une autre pilule, l’engourdissement incorporait plus de mon pied et commençait à remonter ma jambe. Je n’avais pas du tout prévu cela et j’étais découragée car j’avais vraiment espéré que cela pourrait me soulager. Mais mon médecin était maintenant plus convaincu que jamais que j’étais un hypocondriaque.
Elle est devenue tellement en colère contre mon rapport de symptômes que le Dr P m’a diagnostiqué un trouble de la personnalité du groupe B. (Le groupe B comprend les troubles de la personnalité borderline, histrionique, antisociale et narcissique. L’ironie est que le médecin sans cœur a montré plusieurs de ces traits.) Elle a également arrêté le médicament antidépresseur même si je l’ai fourni de ne pas le faire car j’avais décidé de rester sur les symptômes dans l’espoir que le médicament fonctionnerait à temps. Je savais aussi que mon corps ne tolérerait pas plus d’arrêts et de départs de médicaments psychologiques sans plus de réactions indésirables. (Elle m’a fait ça deux fois – la deuxième fois avec Remeron).
J’ai été transféré dans un hôpital plus près de chez moi, mais le personnel médical était tout aussi mal informé sur la gabapentine. Je m’étais déjà formé et compris un peu le sevrage de la gabapentine, mais j’étais totalement ignoré. Ils ont continué à essayer de «m’apprendre» comment la dépression peut amener les gens à imaginer des symptômes physiques. J’ai accepté de prendre un antidépresseur, mais je savais que cela avait toujours pris 7 semaines pour tout antidépresseur que j’avais jamais pris au travail. J’ai de nouveau eu une brûlure accumulé dans mes pieds, mais c’était tolérable.
Mais quelque chose d’étonnant s’est produit environ deux semaines après mon séjour au deuxième hôpital (et plus de 5 mois depuis ma dernière pilule de gabapentine). Même si j’avais encore des brûlures, des bouffées de chaleur et de l’anxiété, elles devenaient gérables. Ma respiration s’améliorait. Le retrait s’améliorait!
Cependant, le médecin n’a pas voulu me libérer. Il a constaté que malgré l’amélioration de mon humeur, j’imagine toujours une sensation de brûlure sur la peau – même si j’ai signalé que maintenant tolérable. Mon mari a dû intervenir avant que je puisse sortir.
J’ai toujours des sensibilités à la caféine, au sucre et même à une vitamine / supplément que j’avais pris pendant plusieurs années comme prescrit par mon optométriste pour aider à prévenir la dégénérescence maculaire, je suis maintenant en mesure de profiter à nouveau de ma vie. Les bouffées de chaleur continuent même 13 ans après la dinde froide de gabapentine de 2007, mais je peux les gérer. J’avais une sensibilité au soleil qui a duré environ un an et demi, et la sensation de brûlure cutanée s’est graduellement atténuée après environ deux ans d’absence de gabapentine.
Gabapentine: les faits
C’est ce que j’ai appris depuis le médicament: l’Université de Stanford a fait une étude sur la gabapentine en 2009 et une évaluation qu’elle examine la formation de nouvelles synapses dans le cerveau. Beaucoup de ceux qui le prennent à long terme développent des troubles cognitifs et une perte de mémoire à court terme. La gabapentine affecte le GABA (acide gamma-aminobutyrique – un élément «calmant») dans le corps. Lors de la prise du médicament, le corps s’adapte au GABA artificiellement induit et commence à en produire moins. (Ce fait est similaire aux benzodiazépines, sauf que la gabapentine affectée le GABA via les récepteurs du calcium plutôt que les récepteurs GABA.)
Bien que n’étant pas techniquement addictif, la dépendance peut survenir très rapidement. Si elle est prise de manière incorrecte, arrêtée brusquement, ou diminuée trop rapidement ou dans le mauvais sens, avant que le corps puisse reconstruire le GABA, beaucoup de choses «non calmes» peuvent survenir (insomnie, anxiété, transpiration, palpitations cardiaques, attaques de panique, tiraillements et douleurs musculaires, contractions, akathisie, problèmes digestifs, difficultés respiratoires, excitation nerveuse – brûlures, démangeaisons, picotements, engourdissements, etc.) parce qu’il n’y a pas assez de GABA produit naturellement disponible.
Dans mon cas, j’avais construit une tolérance – appelé «allumage» – à l’égard de la drogue en passant plusieurs fois par intermittence. Il faut beaucoup plus de temps que ce que la plupart des gens pensent pour que le corps reconstruise le GABA, c’est pourquoi une lente diminution est si importante. La gabapentine a une demi-vie de cinq à sept heures et doit être trois ou quatre fois par jour en quantités égales. Les personnes qui en prennent une ou deux fois par jour peuvent développer un sevrage inter-dose au fil du temps, et c’est à ce moment que des effets commencent souvent à apparaître. (De plus, beaucoup signalent un effritement des dents et une perte de la gabapentine, parmi de nombreux autres effets indésirables ou événements indésirables.) Le corps peut mettre un certain temps à se réinitialiser après l’arrêt du médicament, surtout s’il n’est pas fait correctement.
Le Dr Heather Ashton a mis au point une méthode pour réduire progressivement les substances psychopharmaceutiques il y a environ deux ans. Bien que son travail ait été principalement avec des utilisateurs de benzodiazépine, ses méthodes sont avérées être les plus sûres pour toutes les drogues psychologiques. Mais je suis étonné de voir combien de médecins ne suivent pas ses conseils. Le plus souvent, recommande un cône trop rapide ou même une dinde froide. La règle de base sur la plupart des sites de gabapentine n’est pas plus de 10% de baisse toutes les deux semaines ou plus. Quand on arrive aux doses plus faibles, le médicament a plus d’efficacité, donc beaucoup ne diminue que de 5%.Ceux qui diminuent correctement la première fois et ne rétablissent jamais la gabapentine ont les meilleurs résultats à long terme. »
danger pour la santé
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Justice, class action, recours collectifs…

accusations criminelles de fraude pour la promotion et la commercialisation illégale de Neurontin par son prédécesseur, Warner-Lambert. Pfizer a accepté de payer 430 millions de dollars en règlement.
selon la plainte, les patients ont également reçu des prescriptions de Neurontin pour des conditions non approuvés par la FDA
325 millions $ de règlement de recours collectif Neurontin
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Pfizer fait face à des recours collectifs au Canada sur Neurontin
Pfizer Inc. a accepté de régler un procès pour mort injustifiée alléguant que son médicament contre l’épilepsie Neurontin avait provoqué le suicide d’un ministre à la retraite deux mois après le début de la prise du médicament. Les avocats de Pfizer, le plus grand fabricant de drogues du monde, basé à New York, ont déclaré à un juge de Nashville, dans le Tennessee, qu’ils avaient résolu les accusations de la famille de Richard Smith, qui devaient être jugés aujourd’hui. Il s’agit du deuxième règlement de réclamations selon lequel les responsables d’une unité Pfizer savaient que le médicament contre l’épilepsie présentait un risque de suicide et n’avaient pas été dévoilés aux patients et aux médecins.

ne jmais faire confiance a un médecin

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La métohode de sevrage est la même que pour les benzodiazépines

Professeure C Heather Ashton DM, FRCP, 2002 (ne pas tenir compte du chapitre sur les antidépresseurs, obsolète)
Une information assez complète sur le sevrage
Site d’information sur la dépendance et le sevrage aux benzodiazépines
Soutien au sevrage des benzodiazépines
informations sur les benzodiazépines
forum d’entraide au sevrage des benzodiazépines et assimilés
« Certains de ces groupes de victimes des tranquillisants peuvent documenter sur des personnes qui ont encore des symptômes de sevrage dix ans après l’arrêt.  » – Professeur Malcolm H Lader , Royal Maudesley Hospital
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Lyrica et neurontin tuent les cellules de votre cerveau

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Pregabaline / Lyrica & Gabapentine / Neurontin relié a 600 décès, maintenant en classe C

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Témoignage effets secondaires du lyrica

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La gabapentine est a l’origine de plus de morts par overdose

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Alerte suicide neurontin Pfizer vidéo

https://dailymotion.com/video/x9o51g

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Gabapentine / neurontin : la nouvelle héroïne ?

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Neurontin et Lyrica: les effets secondaires des antidouleurs les plus dangereux de Pfizer

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Quelques livres santé, médicaments et escroqueries

Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir. »
Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait) Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.
« Les médecins prescrivent ces médicaments régulièrement sans jamais avertir les patients qu’une utilisation régulière peut provoquer une dépendance dangereuse. Pour beaucoup de gens, les benzos sont beaucoup plus difficiles a arrêter que de fumer, que l’héroïne, la cocaïne, le crack et d’autres substances illégales »gratuitement en ligne (anglais)
Or, et c’est l’objet essentiel de ce livre, les vrais responsables de toutes ces dérives sont nos mille cliniciens universitaires, dont le bagage scientifique, contrairement à ce qu’ils prétendent, est extraordinairement réduit, spécialement dans les disciplines liées au médicament et à son évaluation, biochimie, pharmacologie et statistiques. La plupart n’ont pas la moindre idée de la réalité. Ils ne lisent, au mieux, que le titre et la brève conclusion des articles scientifiques et croient s’informer à travers les bavardages de couloir ou les présentations-minute des congrès médicaux, sans jamais remonter aux sources ni faire de lecture critique, attentive, calculette en main, des grands journaux anglo-saxons falsifiés par l’industrie et présentés de façon à la servir. Ces universitaires-là constituent une masse inerte, toujours prête à avaler les couleuvres et convaincus que les médicaments les plus récents et les plus chers sont les meilleurs, alors que c’est malheureusement presque toujours l’inverse.Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.Ce livre raconte l’histoire des leaders d’opinion clé aux États-Unis ou ailleurs dans le monde et en sélectionne, en France, une trentaine, dans les disciplines représentant les plus grands marchés, cardiologie, cancérologie, rhumatologie et psychiatrie. Pièces en main et nominalement, sont décrites leurs activités au service d’une industrie dont, universitaires et fonctionnaires de l’État, ils sont devenus les employés. »
Nous savons tous que les médecins acceptent des dons de compagnies pharmaceutiques, allant des stylos et des tasses de café a des vacances gratuites dans les stations de luxe. Mais comme l’ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine révèle dans cette choquant expose, ces dons anodins en apparence ne sont que la partie émergée d’un iceberg qui déforme la pratique de la médecine et qui mettent en péril la santé de millions d’Américains d’aujourd’hui .
Alzheimer, autisme, fibromyalgie, spasmophilie, fatigue chronique, sclérose en plaques, allergies
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
Antipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.
de professeur David Cohen
ANTIDEPRESSEUR ; LITHIUM ; MALADE ; MEDICAMENT ; MENTAL ; NEUROLEPTIQUE ; PSYCHOPHARMACOLOGIE ; PSYCHOTROPE ; SEVRAGE ; SOMNIFERE ; STIMULANT ; TRANQUILLISANT ; USAGE
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés ! …
L’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
« Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy
les antidépresseurs – maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse – alors même que les preuves s’accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
Malheureusement, la psychiatrie tue
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible.
Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux
Les récents décès de célébrités comme Michael Jackson, Anna Nicole Smith, Heath Ledger, et Whitney Houston ont montré un projecteur sur la surutilisation et l’abus de médicaments d’ordonnance. La plupart des gens croient que les médicaments d’ordonnance sont plus sûrs que les substances illicites. Mais, lorsqu’il est combiné avec d’autres over-the-counter sédatifs, médicaments d’ordonnance peuvent être tout aussi puissante, addictive, et dangereux. En 2006, les surdoses sur une classe d’analgésiques d’ordonnance appelés analgésiques opioïdes a tué plus de gens que ceux tués par surdoses sur la cocaïne et l’héroïne combinée. À l’heure actuelle, entre 35 à 54 ans, l’empoisonnement par médicaments d’ordonnance est la cause la plus fréquente de décès liés à l’auto-accidentelles mort plus encore que. Dans les médicaments qui tuent, Dr Marcum brille une lumière sur le pouvoir addictif de médicaments d’ordonnance et comment vous pouvez vous protéger votre famille et en pratiquant des habitudes saines.
« En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
Pourquoi et comment arrêter de prendre des médicaments psychiatriques (anglais uniquement)
L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
Il expose comment, avec l’aide des agences de presse et par la vénalité des mass médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre « soins médicaux » et « santé » sur un même pied d’égalité, alors qu’en réalité il s’agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies. C’est ainsi qu’en un an, 1,5 million d’Américains ont dû être hospitalisés par suite de l’administration de drogues qui auraient dû les « guérir » d’une chose ou d’une autre. L’expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l’alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l’un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. Le présent livre fournit les preuves de ce qui est avancé et expose au grand jour des faits que nombre d’individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais.
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
Des millions de personnes sont apparemment dus à un parce qu’arbitrairement défini, haut cholestérol traités avec affectent l’athérosclérose pouvait être pas prouvé jusqu’à aujourd’hui et la réduction peut même blesser les gens.
Il s’agit du second livre de Françoise Cambayrac. Elle y raconte son histoire – et celle de ses enfants – de désintoxication aux métaux lourds. Il aura fallu 20 ans pour soupçonner le mercure comme étant la cause des maladies de ses enfants. Ligne après ligne, elle nous transporte dans ce dur combat pour sortir ses enfants de leur prison métallique. Si parfois son discours est catégorique concernant le procédé de désintoxication, le parcours reste néanmoins merveilleux.
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.
Dr. Erika Schwartz estime que le patient d’aujourd’hui est, mais une feuille dans le vent de protocoles groupe-think, sociétés médicales corrompus, les compagnies d’assurance sur la prise, et un milliard de dollars dans le marketing et la pression du lobbying des compagnies pharmaceutiques.
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
Il dénonce la collusion entre laboratoires et experts qui amènent des millions de personnes à prendre ces médicaments aussi efficaces que des placebos mais dont les effets secondaires sont parfois dramatiques.
“Medicines out of Control ?Antidepressants and the Conspiracy of Goodwill”de Charles Medawar Voici la traduction en français de quelques pages exemplaires de cet ouvrage
The Bitterest Pills: The Troubling Story of Antipsychotic Drugs Antipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple : les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables; la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur; la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing; de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête; la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars; la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules; comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies; la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée; et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers
« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr
la médecine est le premier vrai danger pour la santé.
on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou
Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »…
Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
Est-il vrai que se faire tester pour trouver un cancer à ses débuts est une des meilleures façons de se garder en santé ? Dans ce livre vivant et bien documenté, un expert renommé en dépistage du cancer conteste une des croyances les plus robustes de la médecine : la meilleure défense contre le cancer est de le traiter tôt. La lecture de ce livre incitera à un peu plus de scepticisme à propos des dépistages les plus communs comme la scanographie du corps, la mammographie et le test de l’antigène prostatique spécifique. Combinant l’expérience de patients et les informations les plus récentes sur les cancers les plus courants, le Dr H. Gilbert Welch montre pourquoi le dépistage du cancer de gens en bonne santé est une épée à deux tranchants : bien que ces tests puissent aider, leur effet est remarquablement minuscule et ils peuvent même faire du tort. S’appuyant sur un domaine peu sinon mal connu de la recherche médicale, il discute des pièges du dépistage : il peut rater des cancers, conduire à des traitements inutiles; le dépistage peut aussi distraire l’attention des médecins d’autres problèmes importants. Les conclusions du DrWelch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer.
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
Tous les graphiques montrent une baisse similaire. Cette baisse ralentit lorsque la vaccination est introduite. Parfois le même graphique une augmentation dans les premières années après l’introduction du vaccin. Les représentations graphiques des statistiques donc faire apparaître l’influence négative de l’introduction des vaccins.
Les fabricants de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge. Un fait sans précédent dans l’histoire de l’humanité
Qui n’a pas rêvé un jour, au nom de ses convictions, de se lever et de faire face aux autorités ? Ce livre raconte l’aventure d’une femme médecin qui a osé le faire, le docteur Ghislaine Lanctôt ! En plein débat sur les vaccinations et les politiques de santé publique, ce livre, plus que jamais d’actualité, relance le débat sur les pratiques mafieuses de la médecine conventionnelle.
jacky Law étudie comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars en persuadant les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue ?
Experts corrompus, pression sur le pouvoir politique, marketing débridé : la description que vous faites de l’industrie pharmaceutique est glaçante… Tous les labos ont les mêmes méthodes de lobbying. Comme n’importe quel produit, le médicament n’échappe pas à la promotion. La grande majorité des entreprises la pratiquent dans le strict respect de la loi. Une minorité, toutefois, fraudent et commercialisent des médicaments dangereux, aux effets secondaires graves. Les conséquences sont désastreuses : chaque année, 200.000 personnes meurent d’accidents médicamenteux dans l’Union européenne.
Les mensonges sur les médicaments sont très nombreux, mais la majorité d’entre nous persiste à croire que ces traitements sont la panacée et n’ont pas d’effets délétères sur nos organismes, alors qu’en vérité, les médicaments peuvent tuer
Les scandales successifs du Distilbène, du Vioxx ou du Mediator, retirés très tardivemnet du marché, ne sont pas arrivés par hasard. La « chaîne du médicament » – de la recherche pré-clinique aux essais thérapeutiques en passant par l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la fixation des prix, le taux de remboursement et la surveillance post-AMM -souffre d’innombrables dysfonctionnements.Désormais les firmes pharmaceutiques contrôlent presque tout, et la pression populaire, instrumentalisée par la propagande publicitaire, a conduit à une accélération du processus de commercialisation. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché.Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité.
La thèse de Pignarre est déroutante, car elle amène à repenser le comportement actuel de l’industrie pharmaceutique. Les citoyens ne feraient pas tant face à une personnification du Mal capitaliste mondialisé qu’à une industrie au bord de sombrer dans l’abîme, qui utilise tous les moyens, même les plus inavouables, pour prolonger la durée de ses brevets, pousser en avant de nouvelles molécules miraculeuses aux effets douteux ou délétères, afin de retarder encore un peu l’échéance fatale, la grande mise à nu.
Voici le récit émouvant d’une fille qui a sauvé sa mère d’une mort certaine. Vous la suivrez dans ses démarches auprès de professionnels de la santé. Mauvais diagnostics, mauvaises médications et effets secondaires pervers en découlent. Tandis que les médecins
Lorsqu’on demande à des médecins s’ils se soumettraient eux-mêmes aux traitements et opérations qu’ils prescrivent, ils se montrent le plus souvent fort réticents. Nous devrions en faire autant, nous dit Jôrg Blech.En s’appuyant sur des études récentes, l’auteur remet en cause la nécessité réelle d’un grand nombre de prescriptions et d’interventions et prouve l’insuffisance de la recherche en ce qui concerne leurs effets à long terme. La relation entre médecins et patients, fondée sur des présomptions, s’en trouve truquée. Aujourd’hui, le corps médical lui-même commence à dénoncer un système de santé pernicieux.Maux de dos, problèmes gynécologiques ou cardiaques, cancer, arthrose, alzheimer… – autant de maladies dont les traitements habituels sont ici soumis à interrogations.
Death by Prescription (Mort sur ordonnance)de Terence Young
les sociétés de plusieurs milliards de Dollar pharmaceutiques
« Certains des pires trafiquants de drogue de la nation ne sont pas dans les coins de rue, ils occupent de très bonnes place au sein d’entreprises »
« Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait. »
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
Le rôle de la médecine est de nous préserver de l’action de la maladie, de la souffrance et de la mort. Dans toutes les traditions, les hommes ont élaboré un art médical à partir des ressources et des concepts qui composaient leur environnement. La médecine ‘classique’ utilise ce qui compose l’environnement du XXIème siècle, les sciences physiques chimiques et biochimiques. Analyses, radiologie, chimiothérapie, vaccinations, etc., sont les outils qui la caractérisent. Parce qu’elle utilise les sciences exactes qui se sont développées en Occident depuis trois siècles, pouvons-nous dire pour autant de notre médecine qu’elle est scientifique ? Hélas, non ! Pastorienne, elle est l’héritière non de principes scientifiques mais de dogmes ; elle voit la maladie comme une ‘chose’ à éradiquer. Elle n’est pas une science. Elle reste un art, aujourd’hui malmené par des mentalités matérialistes qui oublient trop souvent les composantes énergétique et spirituelle fondamentales du malade, mais aussi par la cupidité des tenants d’un système bien organisé, qui lancent pour leur seul profit des alertes à la pandémie et des incitations à se pré-soigner en consommant médicaments et vaccins comme des malades. Rentabilité à tout va ! N’existe-t-il pas une médecine holistique plus réaliste ? Face à une mafia de pseudo-scientifiques et de vrais financiers , y a t-il moyen encore de trouver quelques espoirs ? Marc Avérous est un Ingénieur chimiste à la retraite. Après une carrière dans l’industrie et la diététique, il a étudié tout au long de sa vie professionnelle la philosophie de la médecine et appliqué avec succès les principes d’une vie naturelle
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars par persuader les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue?
Quant à l’incroyable surconsommation de médicaments, c’est une plaie spécifiquement française puisque nous en absorbons deux fois plus que les Japonais et moitié plus que nos cousins allemands, qui ne se portent pas plus mal que nous ! Les volumes de psychotropes (anxiolytiques, antidépresseurs et autres sédatifs) avalés par les Français ont été multipliés par six en vingt ans. Une folle dérive parmi d’autres, qui montre l’immense chemin à parcourir pour parvenir non à dépenser moins coûte que coûte mais à mieux utiliser l’argent collecté auprès des assurés sociaux.
The Myth of the Chemical Cure de docteur Joanna Moncrieff
Ce livre expose le point de vue traditionnel que les médicaments psychiatriques ciblent les maladies sous-jacentes, ou des déséquilibres chimiques correctes, est une fraude. Il retrace l’émergence de ce point de vue et suggère qu’elle a été adoptée, non pas parce que il y avait une preuve à l’appui, mais parce qu’il a servi les intérêts de la profession psychiatrique, l’industrie pharmaceutique et de l’État moderne. Au lieu de cela il est proposé que le travail des «médicaments psychiatriques en créant des états mentaux altérés, qui peuvent supprimer les symptômes de troubles psychiatriques, ainsi que d’autres fonctions intellectuelles et émotionnelles. La recherche sur les antipsychotiques, les antidépresseurs, les stabilisateurs de l’humeur et de stimulants est examinée pour démontrer cette thèse et les avantages et inconvénients de l’utilisation des différentes sortes de médicaments sont discutés. Il est suggéré que la reconnaissance de la nature réelle de médicaments psychiatriques conduirait à une pratique plus démocratique de la psychiatrie.
L’industrie pharmaceutique serait elle dirigée par des hommes assoiffés de profits et d’abord soucieux de “ marchandiser ” cyniquement la souffrance humaine ?
Les vaccins sont des poisons qui ont des effets nocifs multiples sur la santé individuelle et collective. Ils sont nés de l’enthousiasme de chercheurs comme Pasteur qui pensaient avoir trouvé le moyen idéal pour venir à bout de toutes les maladies
combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
redoutables dangers. Les insuffisances de recherches, les négligences des observations, le peu de sérieux des conclusions hâtives de médecins inféodés aux Laboratoires sont dénoncés avec force, preuves à l’appui
Les conclusions de Welch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer
Mais il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant «développés» pays
Depuis les affaires des statines, du Vioxx, de l’Acomplia et du Zyprexa, qui ont occasionné le retrait de plusieurs médicaments
Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse… puis l’histoire secrète où sont les véritables causes des évènements, l’histoire honteuse. Erreur, approximations, mensonges délibérés, vérités partielles ou partiales, prédominance d’une seule pensée : peu de domaines aujourd’hui échappent à ces phénomènes.
Étant donné mon entêtement à récidiver sur ce thème, certains pourraient croire que je suis une victime qui veut se venger de ses prédateurs, ce qui n’est absolument pas le cas. Je tiens à signaler que je ne suis pas vaccinée, ayant eu la chance d’avoir une mère très informée sur la santé et un médecin de famille comme il n’en existe presque plus, qui nous ordonnait des infusions ou des bouillons de légumes et jamais de médicaments, puisque, à l’époque, on ne donnait des médicaments qu’aux gens malades. Or, personne n’a jamais été malade dans ma famille qui vivait et mangeait sainement.
 Le docteur Éric Ancelet a rédigé, en 1998, un ouvrage passionnant sur les vaccins et la médecine en général, dont nous vous conseillons chaudement l’acquisition. « Pour en finir avec Pasteur » démonte, en 250 pages, plus d’un siècle de dogmes autour des vaccins et de la médecine allopathique, maintenues en place par les dirigeants religieux, scientifiques, étatiques et industriels, grâce à l’ignorance et la peur.
 La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces  » gélules miracle  » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref,  » la lune en gélules  » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.
Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
Médication Madness (anglais) de professeur peter Breggin
La grande majorité des individus vivent une vie exemplaire et n’ont pas commis d’actes criminels ou bizarre, avant de prendre les médicaments psychiatriques.
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales? Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. …Les médecins se vendent pour un plat de lentilles.
je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé
 » les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée… »
combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
mensonges et vérités de diana Kircsh
extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans
En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps d’un facteur protecteur : le cholestérol !
Cholestérol, mensonges et propagande du docteur michel de Lorgeril
Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien
•Le taux de cholestérol ne peut être réduit durablement ni par l’alimentation, ni par les médicaments. Il revient sans cesse à sa valeur initiale. •Le cholestérol n’est pas responsable de l’artériosclérose. •Les dépôts sur la paroi des artères sont
LES MENSONGES DE LA MEDECINE du Dr. Roger DALET, MD – Ed. Hachette
Un livre exposant les peurs crées de toutes pièces par le corps médical sur les conséquences exagérés de certains troubles (cholestérol, hypertension) pour faire vendre des médicaments toxiques, inutiles et dangereux.
SL : Mais quelle idée, ce titre ? Vous avez décidé de nous faire peur ?
MM : Non, tout simplement de dire la vérité. C’est un constat, celui d’un échec, l’échec de la médecine. En France, chaque année, 1 300 000 personnes sont hospitalisées dans le secteur public à cause de l’effet indésirable d’un médicament — ça fait quand même 10 % des hospitalisations ! — , et, pour 450 000 d’entre elles, le cas est considéré comme grave ! 18000 personnes n’en réchappent pas. C’est bien une preuve que la médecine nous tue ! Alors, comme je constate qu’en plus, la plupart du temps, elle ne parvient pas à nous sauver malgré l’invention de toutes ses molécules miracles, c’est insupportable.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les médecins des colonies font de l’éradication de la maladie du sommeil leur priorité. Un nouveau médicament vient d’être découvert : la Lomidine. Dans l’enthousiasme, de grandes campagnes de « lomidinisation préventive » sont organisées dans toute l’Afrique. La méthode connaît quelques ratés – la molécule se révèle inefficace et dangereuse – mais ils ne freinent pas les médecins, au contraire. Il faut « lomidiniser » l’intégralité des populations, de gré ou de force.
Médicaments La grande intox Le 23 juin 2011, Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé, déclarait : « Il faut clairement qu’ il y ait un avant et un après-Mediator. » Deux ans plus tard, où en sommes nous ? Sommes-nous à l’ abri de nouveaux scandales sanitaires ? À l’ heure où les pilules contraceptives de troisième et quatrième générations soulèvent des inquiétudes justifi ées, rien n’ est moins sûr. La priorité des laboratoires n’ est pas de nous soigner, mais de faire du profi t. Des maladies sont inventées, des médicaments détournés de leur prescription initiale et des copies d’ anciens médicaments, sans plus-value pour le patient, commercialisées. Pire, on découvre que la plupart de nos médecins connaissent mal les produits qu’ ils nous prescrivent et on attend qu’ un médicament cause plusieurs victimes avant d’ envisager son retrait des offi cines…
Les Français consomment une quantité impressionnante d’antidépresseurs. Pourquoi ? Et avec quelles conséquences ? Que contiennent les antidépresseurs ? Quel rapport y a-t-il entre Hitler et Staline d’un côté, et ces cachets « miraculeux » de l’autre ? Les antidépresseurs sont-ils des médicaments ? De la drogue ? Par quels moyens subtils l’industrie pharmaceutique fait-elle leur  promotion ? Les consommateurs d’antidépresseurs sont-ils les victimes d’une comédie soigneusement orchestrée, ou les victimes de leurs propres illusions auto-infligées ?
Les français sont très préoccupés par leur santé. Ils sont les plus gros consommateurs de médicaments en Europe. On compte une dépense annuelle moyenne de 530 euros par habitant en 2010. La dépense relative à la consommation de biens et de soins médicaux a atteint les 175 milliards d’euros, soit 2692 euros par habitant pour la même année. Alors que la mission première de l’industrie pharmaceutique est censée améliorer notre santé, elle est devenue aujourd’hui une véritable machine de marketing et de vente de produits de consommation.
Médicaments dangereux, essais cliniques biaisés, experts corrompus : l’industrie pharmaceutique est au centre de scandales largement médiatisés. Au fil des procès, on dénonce des conflits d’intérêts et des manquements à l’éthique professionnelle. Mais suffit-il de pointer les failles du système et d’en rester là ? Ne faut-il pas s’interroger également sur son fonctionnement normal pour rendre compte de la récurrence de telles affaires ? C’est la question que pose ce livre, issu d’une enquête de quatre ans, en décrivant la vie d’un médicament ordinaire : un antibiotique apparemment sans histoire, consommé chaque année par des millions de patients.
Au moins 800 000 personnes devraient mourir en France des effets de la pollution dans les vingt prochaines années. L’équivalent d’une ville comme Marseille sera ainsi rayé de la carte, à cause des produits chimiques que nous utilisons et des polluants que nous respirons ou ingérons sans prendre garde. Face à cette hécatombe prévue – 40 000 morts minimum par an – et en grande partie évitable, les industriels se barricadent, les gouvernements tergiversent et l’opinion semble encore endormie. Comme si on annonçait en début de chaque année qu’une nouvelle canicule allait s’abattre sur la France, au moins deux fois plus meurtrière que celle de 2003 qui a tué 15 000 personnes, et que personne ne faisait rien ! Amiante, produits chimiques, pesticides, métaux lourds, dioxines, ozone, particules diesel : pour la première fois, une enquête tente d’évaluer les hécatombes sanitaires, passées et futures, de tous ces polluants, et s’interroge sur les responsabilités de tous les « empoisonneurs » aussi involontaires soient-ils. Il est temps d’écouter les victimes, d’entendre les alertes des experts, de décrire les vrais risques et les incertitudes, de s’interroger sur ces contaminations collectives liées au monde du travail ou à la vie urbaine, dont la France semble prendre conscience plus tardivement que d’autres pays, faute de politiques ambitieuses de prévention et de précaution.
Mammography screening. Truth, lies and controversy (« Dépistage par mammographie. Vérité, mensonges et controverse »)
traite spécifiquement des enjeux scientifiques et des luttes d’influence dans le domaine du dépistage du cancer du sein.Se basant sur une étude réalisée au Danemark et sur l’analyse critique d’études internationales, son auteur danois Peter Gotzsche juge que le dépistage par mammographie présente plus d’inconvénients que d’avantages, entraînant des surdiagnostics de cancers « non symptomatiques », qui n’auraient au final eu aucun effet sur la vie des femmes concernées. »Il peut être raisonnable de ne pas se soumettre au dépistage par mammographie parce qu’il présente à la fois des bienfaits et des dommages », estime-t-il.
L’autisme est devenu la nouvelle épidémie du siècle, mais les pouvoirs publics prétendent que son origine est génétique. Comment une maladie génétique peut-elle s’être multipliée par 12 en dix ans dans les pays développés, soit environ un cas sur 150 naissances ?
Mère de trois enfants dont l’aîné est autiste, Marie-Christine Dépréaux passe le plus clair de son temps à rechercher, traduire et analyser tout ce qui, depuis 8 ans, a trait aux approches biomédicales de l’autisme, mené à un niveau de qualité scientifique acceptable et appuyer par de solides références médicales et surtout d’aller jusqu’au bout. Si la littérature anglaise sur cette vision de l’autisme abonde de témoignages autant de parents que de médecins, si des débats ont lieu aussi bien au niveau du gouvernement que des médias anglophones tant radiophoniques que télévisuels, rien de similaire n’existe pour un auditoire francophone. C’est pourquoi elle décide de se lancer dans l’aventure du livre parce qu’elle aurait aimé découvrir il y a 20 ans, provoquant débats sérieux et fournissant une promotion sur le sujet. Elle s’insurge enfin contre le discours immuable et fataliste entendu trop souvent sur l’autisme: fatalité génétique, non! Trop simpliste! Elle nous révèle qu’existe un microcosme médical à l’origine des nouvelles approches biomédicales de l’autisme. Souhaitons que les membres du DAN (Defeat Autism Now) soient ces scientifiques d’avant-garde qui, avec le concours des parents d’enfants autistes, réveilleront la communauté scientifique endormie afin de vaincre l’autisme des personnes déjà atteintes et d’en déterminer l’origine pour éviter de nouvelles victimes.
Vous découvrirez dans cet ouvrage la face cachée sur les non-dits concernant les métaux lourds, les maladies qui en découlent (épilepsie, jambes sans repos, mycoses, candida, fibromyalgie, hyperactivité, déficit d’attention, psoriasis, électrosensibilité, allergies alimentaires, allergies au pollen, asthme, bipolaire, tocs, anorexie, dépression, anémie, fatigue chronique, diminution de la libido, coliques du nouveau-né, migraine, accouphènes, sifflements d’oreilles, …) ainsi qu’un traitement 100% naturel pour les éliminer, les signes cliniques (248 répertoriés) et les sources d’intoxication de même que les erreurs à éviter lors de déposes d’amalgames, les protections les plus minutieuses et nécessaires effectuées par le dentiste n’étant de loin pas suffisantes.Des mises en garde et les conséquences des chélations 100% chimiques comme (DMPS, EDTA, DMSA …) utilisés dans l’urgence après Tchernobyl, produits trop banalisés à ce jour !
Suicide et la mort peuvent se cacher Dans chaque pilule ISRS Je suis Ann Blake Tracy, Ph.D., chef de la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues. Je suis l’auteur de Prozac: panacée ou Pandora? – Notre cauchemar de la sérotonine et ont témoigné dans des affaires judiciaires impliquant des antidépresseurs pendant 12 ans 1/2. Les 15 dernières années de ma vie ont été consacrées à plein temps à des recherches et à écrire sur les antidépresseurs ISRS. La recherche sur la sérotonine a été clair dès le début que la chose la plus dommageable qui pourrait être fait pour le système de sérotonine serait porter atteinte à sa capacité à métaboliser la sérotonine. Pourtant, c’est exactement ce que les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets. Pour la recherche des décennies a montré que le métabolisme de la sérotonine atteinte produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif. Comment on jamais pensé que ce serait «thérapeutique» pour induire chimiquement ces réactions, cela me dépasse. Pourtant, ces réactions sont exactement ce dont nous avons été témoins dans notre société au cours de la dernière décennie et demie en raison de l’utilisation généralisée de ces médicaments. En fait, nous avons même un nouveau vocabulaire à la suite avec des termes tels que «rage au volant», «suicide par policier », « assassiner / suicide», «va», «syndrome du faux souvenir, » postal « école de tir »,  » bi-polaire »- chaque troisième personne que vous rencontrerez plus – avec des taux faramineux de diabète de type antidépresseur induit et l’hypoglycémie. Vous souvenez-vous il ya deux décennies, quand les gens déprimés utilisés pour s’éclipser discrètement de se suicider plutôt que de tuer tout le monde autour d’eux et puis eux-mêmes comme ils le font tout en prenant des antidépresseurs ISRS? Une étude de l’Université de Californie du Sud en 1996 a porté sur un groupe de souris mutantes dans une expérience qui a terriblement mal tourné. Ces souris transgéniques étaient les créatures les plus violents qu’ils avaient jamais vu. Ils sont nés manque la MAO-A enzyme qui métabolise la sérotonine. À la suite de leurs cerveaux étaient inondés de sérotonine. Cet excès de sérotonine est ce que les chercheurs ont déterminé était la cause de cette violence extrême. Les antidépresseurs produisent le même résultat final car ils inhibent le métabolisme de la sérotonine. Ce sont des médicaments extrêmement dangereux qui doivent être interdits en tant que médicaments similaires ont été interdits dans le passé. Comme société, nous pensions jadis LSD et le PCP comme des médicaments miracles avec de grandes marges de sécurité chez l’homme. Nous n’avons jamais vu médicaments si semblables à ceux du LSD et le PCP que ces antidépresseurs ISRS. Tous ces médicaments produisent rêver pendant les périodes d’éveil. On croit que les niveaux de sérotonine élevés sur stimulent le tronc cérébral qui entraîne un manque de paralysie musculaire pendant le sommeil permettant ainsi au patient d’agir sur les rêves ou les cauchemars qu’ils ont. Le monde a été témoin clairement dans l’assassiner-suicide Zoloft induite par le comédien Phil Hartman et son épouse, Brynn. Connecticut a vu le cas Prozac induite par Kelly Soie il ya plusieurs années. Cette jeune mère a attaqué sa famille avec un couteau, puis réglez la maison en feu tuant tous mais sa fille de 8 ans qui a couru chez les voisins. Comme elle se tenait saignements et crier à l’aide, elle a expliqué: «Au secours! Ma maman est un cauchemar! » Sur la bouche des enfants, nous allons comprendre ces cauchemars pour ce qu’ils sont. Elle a compris que c’était quelque chose que sa mère ferait que dans un cauchemar, jamais dans la réalité. Ceci est connu comme un trouble du comportement en sommeil paradoxal. Dans le passé, il était surtout connu comme un état ​​de sevrage, mais la plus grande installation de sommeil dans le pays a signalé que 86% des cas, ils sont diagnostiquent sont les patients sous antidépresseurs. Parce que cela a été connu dans le passé comme condition manifestant principalement par le retrait de la drogue, vous devriez voir comment l’état dangereux de retrait de ces médicaments se révélera être. C’est pourquoi il est si important de s’assurer que les patients sont sevrés très lentement afin d’éviter tout risque d’entrer dans un état ​​de sevrage.
Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée. Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement  de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée. Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.
..une réalité que personne ne veut l’admettre. Maladies fictives, les statistiques falsifiées – jamais pour le bénéfice des malades, mais toujours pour le bénéfice des actionnaires et le gérant pharmaceutique.
https://www.pulaval.com/media/books/details_L97827637222381.jpg
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Ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse

Reproduction:Il n’existe pas de données suffisamment pertinentes concemant l’utilisation de la prégabaline chez la femme enceinte.
Des études effectuées chez l’animal ont montré une toxicité sur la reproduction (cf. « Sécurité préclinique »). Le risque potentiel chez l’homme n’est pas connu.
Ce médicament ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse à moins d’une nécessité absolue (si les bénéfices pour la mère l’emportent clairement sur les risques potentiels pour le foetus).On ignore si la prégabaline est éliminée dans le lait maternel ; elle est toutefois présente dans le lait chez les rates. Par conséquent, l’allaitement n’est pas recommandé lors d’un traitement par prégabaline.Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement.
mort par les médicaments en santé mentale
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Témoignage

traduction google
 
On m’a prescrit Neurontin en Janvier 2000, en particulier pour contrôler "la colère"  . Mon fils et moi avons été victimes d’un crime violent, par des membres de gangs et nous avons été contraints par l’État de Californie, à témoigner contre ces gens. Je me suis senti plus en colère que ce qui était normal pour moi, donc je suis allé à mon médecin de confiance. 

J’ai été mis sur 3600 mg de Neurontin et c’est ce qui s’est passé pour moi: 

1. Ma colère s’est transformée en simple MAÎTRISER ANGER, RAGE & HOSTILITÉ …………… sans remords. 
2. Je suis devenu PHYSIQUEMENT ADDICTED par le sixième mois. 
3. J’ai développé IBS & chroniques diarreah. 
4. J’ai eu Homocidal & Suicidal Thoughts. 
6. Je suis devenu agoraphobe. 
7. Je suis devenu physiquement violent. 
8. J’ai mis au point un Welt Type Rash. 

Je me suis plaint ET PLUS SUR ET PLUS ………… et tous mes plaintes et de les attribuer à mon Neurontin ont été rapidement rejetée. Chaque et chaque médecin, une infirmière et des soins de santé a dit à moi "Debbie, c’est tout dans votre esprit ". 

Plus et plus encore, on m’a dit qu’il ne pouvait pas être le Neurontin ………… mais ils ont eu tort et j’ai eu raison. 

J’ai dit à mon (nouveau) Docteur en Juillet 28, 2003, que j’ai été physiquement Addicted to Neurontin et que je ne vais pas lui permettre de me prescrire TOUTE MEDICATIONS. 

Savez-vous ce que j’ai obtenu pour "pleurer" Addiction ????????? j’ai été contraint de prendre chaque semaine urine test de dépistage des drogues pour les «drogues de rue, je n’ai "…………. ce, même si elle était une violation de mes droits de l’homme, pour cinq mois. Tout test de dépistage des drogues ont été négatifs. I am a 48 ans, femme d’affaires et mère ………. je n’utilise pas de drogues de la rue. ……….. mais le spectacle de mon médecin, je viens de prouver que j’avais raison, tout le long, et ils ont eu tort. 

Je suis maintenant dans mon sixième mois de detoxing off Neurontin …………. Je suis à 900 par jour …………. et faible et voici .. ……… niveau de ma colère s’est calmée, mon IBS est presque dissipés, je peux même aller à l’extérieur. 

Je suis en invalidité permanente due à l’utilisation de Neurontin. Physiquement, je suis Addicted to Neurontin ………….. une dépendance qui a été "nourri" pendant des années par les médecins qui ne me croyez pas. ………….. J’ai été tout au long de droit, et maintenant, ils sont désolés ??????? Trop peu, trop tard.

Je suis poursuivre PFIZER, aka, Warner-Lambert/Parke-Davis pour NE PAS que Neurontin est Addicting. Je veux que les accusés de RECKLESS Endangerment et tentative de meurtre. 

J’ai été malade pendant quatre ans …………. I a été faite d’être l’idiot du village …………. parce que personne ne CRU ME. 

Mais j’ai des e-mails à partir de centaines de personnes qui souffrent tout comme je suis. J’ai même trois SUICIDE emails …………. un mari, un père et une mère …… ………….. tous choisi de Neurontin committ avec Suicide.

Je suis aussi à poursuivre le premier médecin qui a prescrit Neurontin pour moi Anger Control …………. elle m’a vu TROIS FOIS ……….. et a ensuite continué à "remplir" mon Neurontin pour trois ans sans jamais voir ou de parler pour moi. OUI, j’ai appelé son bureau, d’innombrables fois ………. seulement pour obtenir un appel de retour à partir d’un sondage indiquant Nurse "Debbie, il est tous à l’esprit …… il ne peut pas être le Neurontin. 

Si le Dr Anna Hempstead de Kaiser Psychiatry vient écouté moi au début, puis peut-être ma dépendance aurait cessé d’années, mais elle a choisi de ne pas me croire, elle a choisi de renforcer ce qu’il était "dans mon esprit", at-elle a choisi de ne pas me suivre et comment Neurontin touche-moi maintenant et je choisis de SLAP HER sur la main avec un procès ……….. Je voudrais SLAP son sur le visage ….. ……… ……….. elle le mérite, elle a fait de moi un Addict.

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Lyrica

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